Nous voici de nouveau sur la route de l'expatriation. Nous sommes de nouveau aux Emirats, à Abu Dhabi. Comme me l'a justement rappelé ma mère, en partant la première fois, j'avais dit "'ici, on y revient souvent deux fois!" Pour nous, c'est fait ! Donc je vais réactualiser les pages sur Abu Dhabi et vous donner mes impressions sur le changement qui s'est opéré en 10 ans.
Je trouve que la presqu'île n'a pas vraiment changé hormis la corniche et le réseau routier du coté de Salam street. Par contre c'est autour de ce centre que la ville a changé. De nombreuses îles superficielles sont apparues, dont certaines que nous avons vu se construire au fur et à mesure. Quand nous sommes partis en 2005, tout ceci n’était que des projets, des plans d'urbanisation qui nous semblaient si peu probables et utopiques. Et pourtant, aujourd'hui, elles sont bien là ces îles avec leurs réseaux routiers plutôt désertiques, des buildings et quelques maisons dans des compounds aménagés. Seulement je trouve qu'il manque un peu de de vie sur ces bancs de sable.
Les changements les plus spectaculaires sont surtout à la sortie de la ville où les constructions ont remplacé les étendues de sable. A l’époque, dès que nous avions passé le pont de Mussafa, c'était le désert avec la route bordée de petits pousses d'arbres. Si on m'avait dit en 2005 que j'habiterais là ou nous sommes, je ne l'aurais jamais cru. C’était du sable à perte de vue et rien d'autres ! Par contre du côté de Salam, les modifications à la sortie de la ville avait déjà commencé. Le centre d'Al Raha beach s'était construit rapidement mais ce n'était pas du tout animé par là-bas. On n'y trouvait pas de compounds mais seulement des grandes habitations individuelles et surtout cette belle promenade, une corniche de verdure qui longeait la plage.
Aujourd'hui, Mussafa, kalifa city, Al Raha sont devenus des districts d'Abu Dhabi. On sent une volonté du gouvernement de modifier sa politique du logement en poussant les expatriés à venir se loger à la sortie de la ville par la construction de compounds verdoyants et le type de villa adapté à leur goût, des loyers plus modérés qu'au centre-ville et la construction de centres commerciaux. Dans la ville, on retrouve bien sûr les vieux complexes de maison, des villas individuelles et de multiples immeubles de plus en plus hauts, de plus en plus beaux. La joie des architectes se lit sur la façades de ces constructions et la ville est toujours aussi belle.
A suivre...
Je trouve que la presqu'île n'a pas vraiment changé hormis la corniche et le réseau routier du coté de Salam street. Par contre c'est autour de ce centre que la ville a changé. De nombreuses îles superficielles sont apparues, dont certaines que nous avons vu se construire au fur et à mesure. Quand nous sommes partis en 2005, tout ceci n’était que des projets, des plans d'urbanisation qui nous semblaient si peu probables et utopiques. Et pourtant, aujourd'hui, elles sont bien là ces îles avec leurs réseaux routiers plutôt désertiques, des buildings et quelques maisons dans des compounds aménagés. Seulement je trouve qu'il manque un peu de de vie sur ces bancs de sable.
Les changements les plus spectaculaires sont surtout à la sortie de la ville où les constructions ont remplacé les étendues de sable. A l’époque, dès que nous avions passé le pont de Mussafa, c'était le désert avec la route bordée de petits pousses d'arbres. Si on m'avait dit en 2005 que j'habiterais là ou nous sommes, je ne l'aurais jamais cru. C’était du sable à perte de vue et rien d'autres ! Par contre du côté de Salam, les modifications à la sortie de la ville avait déjà commencé. Le centre d'Al Raha beach s'était construit rapidement mais ce n'était pas du tout animé par là-bas. On n'y trouvait pas de compounds mais seulement des grandes habitations individuelles et surtout cette belle promenade, une corniche de verdure qui longeait la plage.
Aujourd'hui, Mussafa, kalifa city, Al Raha sont devenus des districts d'Abu Dhabi. On sent une volonté du gouvernement de modifier sa politique du logement en poussant les expatriés à venir se loger à la sortie de la ville par la construction de compounds verdoyants et le type de villa adapté à leur goût, des loyers plus modérés qu'au centre-ville et la construction de centres commerciaux. Dans la ville, on retrouve bien sûr les vieux complexes de maison, des villas individuelles et de multiples immeubles de plus en plus hauts, de plus en plus beaux. La joie des architectes se lit sur la façades de ces constructions et la ville est toujours aussi belle.
A suivre...
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